Le 25 novembre, l’excitation est à son comble dans la classe de 3 PA. En effet, en fin de journée, les élèves vont dormir à l’Atomium pour une nuit tant attendue.

Enfin, il est l’heure de partir ! Un dernier au revoir aux parents, il est temps de prendre le bus et le tram. C’est l’occasion d’admirer les lumières de la ville. Il fait déjà nuit quand nous arrivons au pied de l’Atomium sous les cris de joie et d’émerveillement des enfants.

Nos bagages sont déjà là grâce aux parents qui se sont occupés de les transporter. L’ascenseur étant en maintenance à ce moment-là, nous montons à pied pour découvrir la boule des enfants, là où nous allons dormir. Le temps d’enlever nos manteaux, nous redescendons pour le dîner. Les chefs cuisiniers nous ont préparé de délicieuses pâtes aux légumes et une succulente mousse au chocolat.

Après le repas, nous discutons, jouons, dessinons, bouquinons avant d’aller installer nos affaires pour la nuit. Chacun s’installe dans son lit-boule, met son pyjama avant d’aller se brosser les dents.

La soirée est mouvementée. Ce n’est pas facile de s’endormir tranquillement dans un tel environnement. Certains en profitent pour bavarder, d’autres sont inquiets à cause des bruits. La nuit sera très courte pour tout le monde !

Au réveil, les élèves ont juste le temps de s’habiller et de faire leurs bagages. Un délicieux petit-déjeuner nous attend au restaurant. La vue y est splendide. Nous pouvons admirer Bruxelles tout en mordant dans nos tartines de chocolat. Cela n’arrive pas tous les jours. Quelle joie d’être là !

Enfin, c’est l’heure de la visite. Nous avons l’occasion de visiter l’Atomium avec un guide qui nous raconte de nombreuses choses sur ce monument, sa construction et tout ce qui l’entoure. En plus, il n’y a pas encore de visiteurs. Nous pouvons donc pleinement en profiter. 

Et voilà, il est temps de rentrer à l’école. Nous aurons été les derniers à bénéficier de ce beau projet : passer une nuit magique à l’Atomium.

Un tout grand merci au Comité des Parents sans qui ce moment n’aurait pas été possible et à Madame Célia qui nous a accompagnés.

Madame Cécile